"Non, moi, je ne veux pas faire d'achats sur internet, tu sais, les connections ne sont pas forcément sûres", me dit une collègue l'autre jour à la pause de midi, à la cafét.
"Tu as raison, il y a probablement un risque que quelqu'un pirate tes coordonnées bancaires", lui ai-je répondu, pas très au courant en réalité du "danger" encouru réellement lors de paiements par carte de crédit sur des sites connus (magasins de denrées alimentaires livrant à domicile notamment).
"Ah, je ne pensais pas à ça, j'ai surtout peur qu'on puisse savoir ce que j'ai acheté" me rétorque-t-elle.
"Évidemment, vu ainsi, je n'ai pas non plus envie d'être inondée de publicité pour des crèmes anti-rides sous prétexte que j'ai commandé un jour le flacon miracle, celui qui me donnera l'illusion que je fais dix ans de moins".
"En fait, c'est pas non plus à de la crème que je pensais : imagine, tu commandes un vibromasseur sur le net et tout à coup, tout le monde le sait..."
"Dans ce cas, tu as deux solutions : ou tu assumes l'achat d'un vibromasseur, achat non condamné par la loi jusqu'à preuve du contraire, ou tu te rends directement dans un sex-shop et tu paies cash ton achat".
Du coup, j'ai fait à nouveau une de ces associations d'idées dont j'ai le secret et j'ai repensé à la dernière fois où je me suis rendue dans un sex-shop.
C'était il y a très exactement quatre ans et demi. A peine Mister et moi étions entrés dans le magasin que la vendeuse nous tombait dessus en nous priant de quitter les lieux : "le magasin est interdit aux mineurs".
Le mineur en question, c'était Junior, alors âgé de... six mois exactement, très profondément endormi dans son pousse-pousse !
Que voulez-vous, le règlement, c'est le règlement, on ne badine pas avec ça !
Et vous, déjà entré dans un sex-shop ?
A bientôt si vous le voulez bien,
"Tu as raison, il y a probablement un risque que quelqu'un pirate tes coordonnées bancaires", lui ai-je répondu, pas très au courant en réalité du "danger" encouru réellement lors de paiements par carte de crédit sur des sites connus (magasins de denrées alimentaires livrant à domicile notamment).
"Ah, je ne pensais pas à ça, j'ai surtout peur qu'on puisse savoir ce que j'ai acheté" me rétorque-t-elle.
"Évidemment, vu ainsi, je n'ai pas non plus envie d'être inondée de publicité pour des crèmes anti-rides sous prétexte que j'ai commandé un jour le flacon miracle, celui qui me donnera l'illusion que je fais dix ans de moins".
"En fait, c'est pas non plus à de la crème que je pensais : imagine, tu commandes un vibromasseur sur le net et tout à coup, tout le monde le sait..."
"Dans ce cas, tu as deux solutions : ou tu assumes l'achat d'un vibromasseur, achat non condamné par la loi jusqu'à preuve du contraire, ou tu te rends directement dans un sex-shop et tu paies cash ton achat".
Du coup, j'ai fait à nouveau une de ces associations d'idées dont j'ai le secret et j'ai repensé à la dernière fois où je me suis rendue dans un sex-shop.
C'était il y a très exactement quatre ans et demi. A peine Mister et moi étions entrés dans le magasin que la vendeuse nous tombait dessus en nous priant de quitter les lieux : "le magasin est interdit aux mineurs".
Le mineur en question, c'était Junior, alors âgé de... six mois exactement, très profondément endormi dans son pousse-pousse !
Que voulez-vous, le règlement, c'est le règlement, on ne badine pas avec ça !
Et vous, déjà entré dans un sex-shop ?
A bientôt si vous le voulez bien,
Oui, en Allemagne, avec ma grand'mère qui voulait acheter un soutient gorge.
RépondreSupprimerNous ne parlions allemand ni l'une, ni l'autre, et elle, elle n'avait pas réalisé où elle entrait...
Moi, je pouffais de rire. Et à 14 ans, j'étais ravie de voir enfin à quoi ça ressemblait à l'intérieur !
Oui, pour faire un cadeau de Noel à la copine de l'époque. Elle a adoré son vibromasseur et moi j'ai eu mes nuits un peu plus tranquille.
RépondreSupprimerMa surprise fut de taille de voir une clientèle de tous âges et couches sociales. Ca enlevait le côté "Je suis entrain de me faire passer pour un gros pervers!" Tiens, si j'y retournais pour faire une surprise à ma Princesse...
Non, jamais. je ne crois pas avoir besoin d'y acheter quoi que ce soit que je ne possède déjà.
RépondreSupprimerOui, et comme grizzli, ma surprise fut... de taille !
RépondreSupprimerCertains objets me semblaient tellement "disproportionnés" que j'en ai carrément eu des cauchemars ("Mais où rangent-ils tout ça ?").
Brrrrrr....
oui, quelques fois, mais plutôt par curiosité que par le besoin d'acheter quelque chose.
RépondreSupprimerC'est vrai que les accessoires sont impressionnants et je me demandais parfois "à quoi ça peut bien servir ce truc-là ?"
Mais la palme revient à Amsterdam, où tout et son contraire existe en vitrine dans la rue... C'est vrai que la première fois que j'ai vu tout ce matériel, à 19 ans, j'étais , comment dire, interloquée et même choquée.
A part ça, pas d'achats de ce type, mais je laisse la porte ouverte.
biz
A part ça, sur le fond de ton billet. Je trouve ça incroyable de se faire mettre dehors d'un lieu commercial sous prétexte que le chérubin dans sa poussette pourrait éventuellement être perturbé par ce qu'il voit. Dans ce genre d'exemple, on revoit pointer ces sacro-saints règlements dernier lesquelles on se cache pour être sûr de ne pas avoir d'ennui.
RépondreSupprimerCe genre d'hatitude me font rapidement grimper aux rideaux lorsqu'à l'école, l'institution de nos chers têtes blondes déroulent la liste des INTERDITS, des défendus, des prohibitions, des censures, des refus et de toutes ces choses qui ne vont vraimnent pas. Et oui, le règlement c'est le règlement et l'école en a, plus elle doit se sentire protégée de cet ennemi-parents qui n'a décidémment rien compris.
Oui, je regrette que la collaboration entre parents et professeurs ne soient pas aisées, alors qu'à la crèche tout va bien, qu'avec les autres professionnels qui m'entourent lié à mes enfants tout va bien aussi.
Alors comment pourrions-nous rétablir la confiance ?
Pour ce qui est de l'interdiction aux mineurs, c'est la même chose dans les bars qui vendent de l'alcool, au Canada : entrer boire une bière avec un moutard de deux ans est impossible.
RépondreSupprimerPour les sex-shop, j'y suis entré très souvent. Mais, vu les romans que j'écris, ça peut toujours passer pour une enquête "de terrain"...
Coacoa, je te rassure, j'ai acheté un truc normal, tout ce qu'il y a pour contenter sa douce. Mais il a fallu que je cherche un bon moment avant de trouver l'objet qui fera plaisir! (c'est le cas de le dire!!!)
RépondreSupprimerIl y avait des trucs tellement HENAURMES qu'à la fin je fus complexé!...
Didier, je n'habiterais pas au canada, deja, on n'a pas le droit de boire de bieres pendant 9 mois + tout l'allaitement, si en plus il faut attendre 18 ans!!
RépondreSupprimerMary Poppins, je ne suis jamais entree dans un sex shop, meme a Amsterdam, ou j'y ai vecu 4 ans. C'est bizarre mais c'est justement pour ce genre d'achat que je trouve internet plus anonyme...
Bises
Tiph
Je crois que je vais m'abstenir de répondre autrement à la question de Mrs Poppins que par : oui, j'y suis déjà entré (dans un sex-shop, mais ailleurs aussi).
RépondreSupprimerJe me limiterai à cela. ;)
Moi j'ai jamais fait. Si j'avais une acquisition à faire ça serait plutôt sur Internet.
RépondreSupprimerbonne soirée
Nouwanda
Encore jamais... mais qui sais de koi est fait le future!
RépondreSupprimerP.S. Je trouve normal de ne pas permettre a un enfant de rentrer dans un magasin de spécialitée sexuelles, car ce n'est absolument pas adapté a son age! Il y a pas tout les parents qui attendent que bébé dorment pour y entrer!
Ah oui je voulais te montrer mon blog de cuisine Mary:
RépondreSupprimerhttp://claire-mes-recettes.blogspot.com/
Bisous
Oui, souvent, en Hollande, en Angleterre, mais jamais rien acheté. Si ej devais franchir le cap de l'achat, je pense que j'opterais plus facilement pour un achat sur Internet.
RépondreSupprimerSinon, avec des mots tels que "sex" et "sex shop" et "vibromasseur", tu vas exploser ton quota de visites ! Si si si...