L'heure est grave, mes amis, très grave : mon ordinateur est en train de rendre l'âme !
Le premier que j'ai acheté, c'était un Mac Classic d'occasion, sur lequel j'ai bossé mes cours de droit. Le second a été un Performa 630, neuf cette fois-ci, qui m'a permis de rédiger mon travail de fin d'études (sujet ohhhhh combien passionnant de "l'interdiction d'abus de position dominante au regard de l'art 86 du Traité de Rome"), toute contente d'être parmi les premières à avoir une connection internet (qui m'empêchait alors de téléphoner et qui m'imposait de patienter que ça fasse "grrrrr-tu-tu-tu-tu-tuuuuuuuu").
Ensuite, Mister m'a initiée aux plaisirs du portable en m'offrant un joli "beauty-case" bleu, que j'ai chéri jusqu'à ce que les touches se fassent plus ou moins la malle. Dans sa grande bonté, il a remplacé ce bel objet par un PowerBook G4, qui serait paraît-il, d'avis d'experts, un Titanium.
Utilisé (ouvert, fermé) plusieurs fois par jour depuis des années, me servant à surfer sur le balcon, à la cuisine, sur le canapé du salon, il a un beau jour refusé de me rendre les services escomptés : selon toute vraisemblance, la batterie a lâché, me condamnant à avoir un fil à la patte.
Nonobstant ce manque de mobilité, je lui suis restée fidèle : on ne quitte pas comme ça un "ami", juste parce qu'il n'est plus aussi "fit". Sauf que là, l'ami en question tombe en ruine, littéralement : l'écran est sur le point de se détacher et de s'ouvrir, sur le point de me montrer ses "entrailles" !
L'heure est grave, mes amis, très grave et je suis bien peinée de devoir préparer l'enterrement prochain de ma "bécane".
L'heure est grave, mes amis, très grave : je me rends compte que mes débuts en matière de *rédaction", je les ai fait sur une IBM à boule, c'est dire si je suis vieille !Le premier que j'ai acheté, c'était un Mac Classic d'occasion, sur lequel j'ai bossé mes cours de droit. Le second a été un Performa 630, neuf cette fois-ci, qui m'a permis de rédiger mon travail de fin d'études (sujet ohhhhh combien passionnant de "l'interdiction d'abus de position dominante au regard de l'art 86 du Traité de Rome"), toute contente d'être parmi les premières à avoir une connection internet (qui m'empêchait alors de téléphoner et qui m'imposait de patienter que ça fasse "grrrrr-tu-tu-tu-tu-tuuuuuuuu").
Ensuite, Mister m'a initiée aux plaisirs du portable en m'offrant un joli "beauty-case" bleu, que j'ai chéri jusqu'à ce que les touches se fassent plus ou moins la malle. Dans sa grande bonté, il a remplacé ce bel objet par un PowerBook G4, qui serait paraît-il, d'avis d'experts, un Titanium.
Utilisé (ouvert, fermé) plusieurs fois par jour depuis des années, me servant à surfer sur le balcon, à la cuisine, sur le canapé du salon, il a un beau jour refusé de me rendre les services escomptés : selon toute vraisemblance, la batterie a lâché, me condamnant à avoir un fil à la patte.
Nonobstant ce manque de mobilité, je lui suis restée fidèle : on ne quitte pas comme ça un "ami", juste parce qu'il n'est plus aussi "fit". Sauf que là, l'ami en question tombe en ruine, littéralement : l'écran est sur le point de se détacher et de s'ouvrir, sur le point de me montrer ses "entrailles" !
L'heure est grave, mes amis, très grave et je suis bien peinée de devoir préparer l'enterrement prochain de ma "bécane".
Parlez-moi de votre premier ordinateur !
A bientôt si vous le voulez bien,
En 1976, je fais un mémoire de fin d'études. il comporte une partie de traitement statistique. Après quelques appels téléphoniques, je me rends compte que la prise en charge par un centre de calcul est en dehors de mes moyens.
RépondreSupprimerEn revanche, la presse de l'époque s'esbaudit de la manipulation d'une calculatrice programmable avec imprimante le HP 97 de Hewlett Packard.
Je débourse plus de 3000 francs et 2 jours plus tard, les calculs statistiques sont imprimés (miracle, l'hypothèse de base de mon travail a été vérifiée !!)
Quelques mois plus tard, un nouveau modèle me ravit encore plus: la HP 41C (je l'ai toujours, elle fonctionne, merci).
Et puis je me rends vite compte que mes dossiers ne pourront être correctement utilisés que si un classement digne de ce nom ne règne pas: première tentative avec un Apple II avec 2 lecteurs de disquettes (dont un avec contrôleur disait le prospectus; 30 ans après je ne sais toujours pas ce que c'est).
Quelques mois plus tard j'achète mon premier disque dur; un 15 Mo gros comme 2 boites à chaussures empilées, faisant un bruit d'enfer et chauffant à tel point que je dois couper le chauffage de mon bureau.
Le gros problème de cette époque n'était pas tant l'ordinateur que le programme qui y résidait. Il n'y avait en particulier aucun gestionnaire de base de données programmable accessible.
Quelques échecs et années plus tard (fin 1983, oui, avant tout le monde, ça sert les copains) je reçois mon premier Mac avec lecteur de disquettes 3,5", puis j'achète un disque dur de 20 Mo (silencieux et qui ne chauffe pas). Un Mac II siège sur mon bureau et tient compagnie à un Mac SE qui fait le serveur (je ne vous raconte pas la mise en oeuvre d'un réseau :=(((())), jusqu'à ce qu'un voleur vide mon bureau à la Toussaint 1992.
J'ai eu depuis un Mac Duo (ultra portable qu'on enchâssait dans une station de bureau, un MacBook 240Hz, un Powerbook Titanium (dis Bonjour au cousin Poppins) à peu près dans le même état que celui de MP mais qui fonctionne toujours (Hep ! MP, on peut acheter une batterie neuve à un Titanium)
Il y a aussi 5 ou 6 PC dans mon service, mais ça, ça ne compte pas, c'est une quasi obligation légale.
J'ai eu aussi un Psion Mx, 2 Palm (n'achetez plus rien chez Palm maintenant). Je possède maintenant un SonyEricsson P910i qui me sert de téléphone, bloc note, pico-ordinateur de poche qui synchronise parfaitement avec le Mac.
Ouf !!! 30 ans avec du silicium....
Tout à commencer en 1983 lorsque mon père à emporter du bureau un portable de marque Compaq (portable était alors très relatif, puisqu'il devait peser 10kg et avait la taille d'une de ces valises à roulettes qu'on a le droit de prendre en cabine). Il y avait un traitement de texte et ça me titillait les méninges. Les disquettes étaient bien sûr des 5 pouces un quart et il n'y avait pas de disque dur.
RépondreSupprimerPuis nous avons eu un Hermes avec lequel j'avais appris par coeur les "ctrl-F1" et autres "shift-f7" pour mettre en gras ou en souligné. Ca me passionnait déjà.
Je me souviens ensuite, l'achat de Mon premier PC multimédia en 1991 à la Placette pour une valeur de 4'000.- chf. Qu'est-ce que j'étais fière ! Et ça ne s'est jamais arrêté depuis.
Aujourd'hui, je ne jure que par Mac à la maison (car au travail je subis un portable PC). Maintenant, c'est Juniorette qui devient accro en se prenant en photo ou en jouant sur Internet.
Avec tout ça, la lecture de mes blogs préférés n'ont rien amélioré à mon addiction à ces f... machines.
BIZes pour le week-end.
Mon premier ordi vraiment personnel (j'en ai toujours eu au travail), c'était en 1995. Un LC quelque chose d'occasion, provenant d'un pote macmaniaque qui avait voulu passer à plus perfectionné. Mais ce qu'il avait de particulier pour l'époque, c'était un modem 14'400, et une connection déjà configurée et éprouvée par le copain, raison première de cette acquisition. Plus de 3'000 francs, la liaison à Zurich, seul point d'accès pour Compuserve, quel investissement... qui m'a fait souvent passer pour l'originale de service.
RépondreSupprimerEn 1989, un Atari 1040 avec une émulation MacIntosh... Enfin c'était celui de l'homme de ma vie, mais je le considère comme MON premier ordinateur. Sa boite lui avait fourni un modem pour pouvoir travailler la nuit : ce machin devait peser 5kg, faisait la taille d'une boite à chaussures et un bruit d'enfer.
RépondreSupprimerAujourd'hui, famille d'accros à ces machines, nous avons 6 PC pour 4, dont un portable et un configuré en serveur.
Mais toujours pas de Mac... pourtant je l'aimais bien mon émulation !
Dis Franklin, pourquoi il ne faut plus rien acheter chez Palm ?
Faites vous offrir le MacBook Air !
RépondreSupprimerhttp://www.apple.com/fr/
@ dominique
RépondreSupprimerPourquoi ne faut-il plus rien acheter chez Palm ?
1- Parce que depuis 3 ans ils sont en complète débandade,
2-parce que le Palm OS est tellement instable que la décision de passer sous Windows mobile est en oeuvre depuis 2 ou 3 ans
3- parce que la hotline a fait preuve d'incompétence incommensurable
4- parce que Palm n'a pas su évoluer devant le rouleau compresseur Tout-petit-mou
En clair, investir dans un Palm, c'est prendre le risque de n'avoir aucun suivi dans les mois qui viennent.
J'arrête, on se croirait sur www.cuk.ch
Bonne journée.
F.
Le premier :
RépondreSupprimerTI 99 A4 (Texas Instruments): pour les jeux et qq lignes de codes en basic (pas plus de 10 lignes car j'ai jamais réussi à configurer le magnétophone à K7 pour les sauvegardes).
Puis Victor Vicky. 1 lecteur de disquettes et 20 MO de disque dur
(qq pages de Dbase 3 plus...)
Puis un Mac Classic : ça y est je me mets au traitement de textes.
Puis un Dell récupéré du bureau (ma première liaison Internet)
Et enfin un Packard Bell Easynote E6315.
Pour info j'ai gardé le TI et le Mac Classic.
Rhooo, je ne m'en rappelle pas ! Je devais avoir 6 ou 7 ans, c'était celui de mon père, tout était en dos et je pouvais jouer de temps en temps à un simulacre de jeu de tennis, à l'aide des flèches sur le clavier !
RépondreSupprimerBises
Rhooo, je ne m'en rappelle pas ! Je devais avoir 6 ou 7 ans, c'était celui de mon père, tout était en dos et je pouvais jouer de temps en temps à un simulacre de jeu de tennis, à l'aide des flèches sur le clavier !
RépondreSupprimerBises
Amstrad 6128;-)))))
RépondreSupprimerc'etait tout vert et on s'endormait le soir en revant a 2001 l'Odyssee de l'Espace
On avait l'impression de toucher du doigt une modernite absolue 8-)
des bisous et a bientot
Lunap
(Chuis à la bourre, mais en train de rattraper mes retards cumulés de lecture chez les uns et les autres...)
RépondreSupprimerMon premier ordi perso à moi toute seule, c'est le seul, l'unique, l'actuel... un Compaq qui a 5 ans et 1/2 déjà, qui ne m'a jamais posé de problème, mais... qui d'après ta description ressemble étrangement au tien !
Moi aussi je suis condamnée à restée "branchée" (plus possible de surfer depuis mon lit !) et depuis plusieurs mois, je n'ose même plus le refermer : le capot se désolidarise, je VOIS les entrailles de la bête, et j'ai peur que si le capot retombe cela ne cisaille un fil... parce que je vois tous ces petits circuits colorés, brrrr... Je n'ai pas terminé toutes mes sauvegardes !!!
Et je n'ai pas terminé d'économiser pour le remplacer, non plus...
Je rêve, bingo, moi non plus, je n'ai pas les sous pour remplacer l'actuel ! Allez, on les traite avec déférence, peut-être vont-ils tenir encore un peu.... Faut juste laisser la carte bleue à la maison lors de la prochaine sortie.... et lors de la suivante aussi, tiens....
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