Même si je bénéficie d'une connection internet depuis douze ans, que j'utilise un ordinateur depuis seize ans, le papier reste pour moi un support indispensable et je ne crois pas une seconde au "paperless office", bien que certains le considèrent comme une évolution inévitable.
Même si certains de mes collègues ont téléchargé toutes les lois qui leur sont utiles sur leur ordinateur, je ne parviens, pour ma part, pas à travailler avec différentes fenêtres ouvertes en même temps et j'ai besoin d'avoir un texte légal imprimé, pour pouvoir souligner, ajouter des commentaires, faire des renvois dans la marge.
Même si le livre électronique se répand, je reste attachée à certaines éditions, parce que le papier possède un grain agréable, parce que les pages dégagent une odeur que j'apprécie, parce que la couverture est soignée. J'aime acheter des livres d'occasion, non seulement parce que leur prix est plus modique mais et surtout parce que ces ouvrages ont vécu et conservent parfois des traces de leurs voyages, de leurs anciens propriétaires : je me souviens d'avoir un jour trouvé, glissée dans un roman, une carte postale, dont le bref message m'avait davantage intriguée que le livre lui-même. D'autres ouvrages, bien que vendus comme "seconde main", semblent encore tellement neufs, sans aucune trace de manipulation, que je me demande bien pourquoi l'ancien propriétaire ne l'a pas lu.
Même si tous les téléphones portables permettent d'enregistrer non seulement des numéros mais également des adresses, des dates, j'ai entrepris de recopier il y a quelques années dans un carnet toutes les indications relatives aux personnes importantes pour moi : nom, prénom, adresse postale, adresse e-mail, numéros professionnel et privé, date d'anniversaire, prénoms des enfants et/ou du conjoint notamment.
Seulement voilà, ce carnet, bien que très grand, est en train de devenir trop petit. Non pas parce que j'ai un cercle d'amis impressionnant mais parce qu'autour de moi, les gens s'obstinent à déménager sans arrêt, au gré de leur emploi ou de leur formation; les gens s'obstinent à se marier et à divorcer avant même que je n'aie eu le temps de rectifier la première indication.
Ce soir, alors que j'apportais une quatrième correction à l'adresse de Christian, j'ai été tentée d'introduire toutes les données dans ma messagerie internet. Puis j'ai renoncé à ce projet : ces "ratures" et changements successifs sont un peu comme le temps qui se déroule, comme un petit film de la vie des gens qui me sont chers.
La seule chose à laquelle je ne m'habituerai jamais, c'est de tracer le nom d'une personne décédée. Mais je crois que presser la touche "delete" serait encore plus insupportable.
Non, décidément, le papier n'est pas prêt de disparaître de ma vie.
Et chez vous, le papier est-il de plus en plus rare ou au contraire, envahit-il vos dossiers ?
A bientôt si vous le voulez bien,
Même si certains de mes collègues ont téléchargé toutes les lois qui leur sont utiles sur leur ordinateur, je ne parviens, pour ma part, pas à travailler avec différentes fenêtres ouvertes en même temps et j'ai besoin d'avoir un texte légal imprimé, pour pouvoir souligner, ajouter des commentaires, faire des renvois dans la marge.
Même si le livre électronique se répand, je reste attachée à certaines éditions, parce que le papier possède un grain agréable, parce que les pages dégagent une odeur que j'apprécie, parce que la couverture est soignée. J'aime acheter des livres d'occasion, non seulement parce que leur prix est plus modique mais et surtout parce que ces ouvrages ont vécu et conservent parfois des traces de leurs voyages, de leurs anciens propriétaires : je me souviens d'avoir un jour trouvé, glissée dans un roman, une carte postale, dont le bref message m'avait davantage intriguée que le livre lui-même. D'autres ouvrages, bien que vendus comme "seconde main", semblent encore tellement neufs, sans aucune trace de manipulation, que je me demande bien pourquoi l'ancien propriétaire ne l'a pas lu.
Même si tous les téléphones portables permettent d'enregistrer non seulement des numéros mais également des adresses, des dates, j'ai entrepris de recopier il y a quelques années dans un carnet toutes les indications relatives aux personnes importantes pour moi : nom, prénom, adresse postale, adresse e-mail, numéros professionnel et privé, date d'anniversaire, prénoms des enfants et/ou du conjoint notamment.
Seulement voilà, ce carnet, bien que très grand, est en train de devenir trop petit. Non pas parce que j'ai un cercle d'amis impressionnant mais parce qu'autour de moi, les gens s'obstinent à déménager sans arrêt, au gré de leur emploi ou de leur formation; les gens s'obstinent à se marier et à divorcer avant même que je n'aie eu le temps de rectifier la première indication.
Ce soir, alors que j'apportais une quatrième correction à l'adresse de Christian, j'ai été tentée d'introduire toutes les données dans ma messagerie internet. Puis j'ai renoncé à ce projet : ces "ratures" et changements successifs sont un peu comme le temps qui se déroule, comme un petit film de la vie des gens qui me sont chers.
La seule chose à laquelle je ne m'habituerai jamais, c'est de tracer le nom d'une personne décédée. Mais je crois que presser la touche "delete" serait encore plus insupportable.
Non, décidément, le papier n'est pas prêt de disparaître de ma vie.
Et chez vous, le papier est-il de plus en plus rare ou au contraire, envahit-il vos dossiers ?
A bientôt si vous le voulez bien,
Sans conteste, chez moi, le papier se fait de plus en plus rare. Cela me convient bien, je n'arrivais pas à indexer le contenu de mes dossiers, si bien qu'un papier "rangé" devenait souvent un papier "oublié". L'informatique me permet de beaucoup plus facilement retrouver un papier, une note, une idée.
RépondreSupprimerPar contre, avec le papier - et je le regrette - c'est mon écriture qui s'en va.
Alors que j'adorais la calligraphie, aujourd'hui mes lettres semblent de plus en plus frappées par une forme d'amnésie. Les "s" ne ressemblent plus à rien, les "l" non plus, bref, il y a une forme de savoir - relatif - qui disparaît. Une dextérité qui se perd.
De la même manière qu'avec la guitare qui dort dans mon armoire, mon manque de pratique de la plume me fait oublier des gestes que je croyais définitivement acquis.
Point de regret. Mais un constat : le gestes qui a remplacé l'ancien (shift-M) n'arrivera jamais à me faire éprouver l'émotion ressentie devant un M majuscule magnifiquement exécuté à la plume.
coacoa
"M" comme... ? :-))
RépondreSupprimerMoi j'ai toujours écrit comme un cochon, alors chaque fois que j'écris une carte manuscrite ou autre, je dois faire un travail sur moi-même: "Non, ne le fait pas à l'ordinateur, c'est l'intention qui fait plaisir !".
Pour le reste, pour moi et bien j'aime beaucoup le papier pour lire. Par contre je déteste le stocker. Quand j'ai le temps et que le papier est pas "si important", je le scanne et le jette.
Idem pour ces documents que je télécharge pour info. S'ils sont long, je dois les imprimer pour les lire. Je les jette ensuite et les conserve uniquement sur disque dur.
Pour les adresses et l'agenda, je n'ai réussi à m'organiser que depuis l'avènement de l'électronique. A mon grand regret, car mon iPhone ne provoquera jamais chez moi la même émotion qu'un Moleskine.
Vous avez vraiment, l'un comme l'autre, le sens de la formule... un M calligraphié et un Moleskine, l'image est doublement parfaite !
RépondreSupprimerPresque pas de papier chez moi, je ne note presque rien, sauf ce qui est éphémère sur du papier brouillon ou de vieilles enveloppes.
RépondreSupprimerUne exception notable cependant, les livres que je ne conçois pas autrement qu'en papier.
Je n'ai jamais eu de carnet d'adresses, je pense que si je dois revoir quelqu'un la providence y pourvoira, et tant qu'on fréquente le même milieu, ça marche (quelquefois je triche un peu). Pire, il y a un nombre incroyable de personnes que j'ai bien connues et appréciées dont j'ai toujours ignoré le nom réel, encore pire j'ai habité des endroits dont je ne connaissais pas le nom de la localité ou la rue…
Lisant beaucoup, parfois je trouve des idées intéressantes ou de jolies formulations au fil des pages, mais je ne note ni n'annote ni ne surligne. Je ne fais jamais de citations, ça me donne l'impression d'arnaquer mon interlocuteur en ne faisant pas l'effort de sortir quelque chose qui vient vraiment de moi.
Suis je parti pour me faire une réputation de grand malade ? :)
Levri, et si elle était déjà faite ? ;-)
RépondreSupprimerLorsque j'ai eu mon premier poste de cadre en 1988, ma première ambition a été de débarrasser de sa paperasse le petit service que je dirigeais. J'ai bien vite déchanté, me rendant compte que nous perdions un temps fou à saisir et paradoxalement, à faire circuler l'information.
RépondreSupprimerAujourd'hui, vingt ans plus tard, la seule chose que l'informatique a réellement remplacé chez moi est le carnet d'adresses. Pire encore, je reproduis sur mon bureau virtuel le même "bordel" que celui des piles de papiers accumulés au fil des ans, sans oublier les choses en double, car imprimées ou scannées.
Cela dit, je pense que les choses risquent de changer rapidement pour plusieurs raisons. Parmi celles-ci, les nouvelles générations ont un rapport beaucoup plus naturel avec l'informatique. Tout comme notre génération a appris les maths une calculatrice à la main, alors que la précédente en était restée au papier et au calcul mental. Une autre raison majeure est l'avènement probable d'interfaces homme-machine beaucoup plus intuitives, telles que l'holographie, la reconnaissance vocale, etc.
On en reparle dans dix ans ?
Smop, pas sûre que mon blog soit encore là dans dix ans mais sur le principe, bien sûr : j'aimerais bien pouvoir justement revisiter des idées qui avaient cours à une certaine époque pour voir ce qu'elles sont devenues. Comme les gens, tiens !
RépondreSupprimerC'est venu tout doucement, sans faire de bruit, nécessairement, avec les dossiers pléthoriques des gens que je soigne. Avec mon associé, nous avons évalué entre 750.000 et 1 million le nombre d'items (quand je vous disais ....) à gérer annuellement par personne.
RépondreSupprimerDonc dès 1978, nous nous sommes mis au clavier, d'abord très modestement - aucun outil de l'époque ne répondait à nos nécessités - et puis au fur et à mesure, c'est arrivé. Mais légalement, nous nous devons de tout conserver 30 ans ( ;-( aux juristes !!) A tel point que tout dort dans une villa de 300 m2 des sous sols au greniers.
A titre personnel, j'ai longtemps conservé un agenda papier avec carnet d'adresses (je les ai toujours). A la fin de l'année, le nombre de post it faisait tripler l'épaisseur de l'agenda, sans compter les pertes.
Parallèlement, les 400 adresses professionnelles et amicales ont brusquement augmenté quand j'ai pris la responsabilité de la rédaction d'un journal (sur la viole de gambe, étonnant, non ?). J'ai donc ajouté environ 300 adresses de luthiers, de musiciens, de musicologues, d'éditeurs ...
Le classement , dites vous ? fastoche !! rien, nada, niente. Alors, la fée Organisation m'a adjoint un de ses enfants, Organizer.
Ce petit, fragile, à la mémoire volatile comme un Alzheimer, jeune pourtant me direz vous, nécessitait une sauvegarde synchronisation pour ne pas tout perdre. c'est ainsi que mon ordinateur s'est aussi rempli du contenu de mon carnet.
Mais aussi... l'ordinateur qui contient mes 700 adresses, il sait aussi imprimer un carnet d'adresses, et un agenda ...comme je veux, que je peux griffonner, raturer, déchirer, et recommencer.
De l'électronique, peut-être, mais "papiérable", certes
Les livres: Notre déménagement l'an dernier a comporté 68 cartons de livres... et le reste. Pas question de renoncer aux livres papier, leurs odeurs, leurs plis, leurs vécus. Lors de ce déménagement en rangeant les étagères de bouquins, je suis tombé sur "Touky chien" qui m'a accompagné toute mon enfance. Quelle émotion.
Demandez ça à un bout de silicium !!
Paradoxal :
RépondreSupprimer- au bureau je ne peux me passer de papier. Mais exerçant dans le même domaine que vous, Madame Poppins, je confirme qu'il est très pénible de s'acharner "électroniquement" sur un texte de loi. Alors que sur le papier on peut lui faire subir tous les outrages.
- à la maison : mon rève c'est le zéro papier. Donc toutes mes factures et relevés de comptes sont désormais électroniques. Plus de courrier qui traine 6 mois avant d'être classé, plus d'espace à réserver dans le bureau, un sentiment d'agir pour l'environnement...le pied.
Pour les livres, je suis comme vous et vos lecteurs, rien ne remplacera jamais le contact du papier.
Tchoutchou
Mam'Pop', pas sûre que ce blog soit encore là dans dix ans ? C'est très probablement ce que je me suis dit le 25 mai 1996, jour de l'ouverture de ce qu'on appelait alors une "page personnelle". Et pourtant, même si je ne m'en occupe pas toujours avec le même zèle, douze ans et cinq mois plus tard, le site est toujours en ligne. Je réfléchis d'ailleurs à sa énième refonte. Comme quoi, il ne faut jurer de rien...
RépondreSupprimer@ Maame Poppins : pff, j'anticipais cette réponse, un traitement à proposer ? :P
RépondreSupprimerPS : à titre professionnel, j'ai une base de donnée clients etc, mais rien d'imprimé sauf les documents légaux. mais dès que je change d'activité tout ça se retrouvera dans quelques oubliettes…
Alors là pour moi c'est carrément la quadrature du cercle... J'ai bel et un carnet d'adresses électronique qui est synchroniser avec mon PC du boulot et mon mac de la maison, mais 6 fois sur 10 je me retrouve avec des adresses à double ou des adresses qui ne veulent pas se synchroniser etc. etc.
RépondreSupprimerA croire que la synchronisation fait partie de ces éléments de notre vie de tous les jours qui a sa propre vie avec ces propres envies de fonctionner.
Pour l'agenda, j'ai eu un palm pendant 5 ans et j'ai jeté l'éponge. De nouveau à cause des synchros qui avaient l'air de faire ce qu'elles voulaient parfois ou souvent.
Je suis donc revenue au papier, mais je m'arrage aussi (encore ?) les cheveux... Nous avons un agenda familial sur google agenda et je "m'amuse" donc à reporter tous les (certains ou je ne sais plus) rendez-vous dans mon agenda papier. Evidemment, c'est pas la panacée mais au moins mes "synchro" sont correctes :-)
Quant aux livres, je préfère aussi le papier car l'écran au lit ce n'est vraiment pas pratique. biz
Professionnellement, tant que le fisc exigera du papier comme preuve,j'en aurai tout le tour du ventre...
RépondreSupprimerPersonnellement, j'ai moi aussi un agenda où je note tout, mais lassée de faire "des paquets de correcteur", pendant mon second congé maternité, j'ai tout refait au propre et au crayons de papier ;-)ainsi, ils peuvent changer d'adresse, d'opérateur internet, ou de téléphone, mon agandat est tout beau tout propre !
Les rares personnes dcd qui y figurent, je ne peux me résigner à les y enlever......
Je suis très conservatrice, je garde les cartes postales, d'anniversaires et de voeux et je maudis l'e-carte....
Pareil pour mes filles, je garde les "dessins" et les début d'écriture, vais devoir louer un entrepot dans 10 ans
Le zéro papier, c'est pas pour moi...
bises
Ysa
C'est clair qu'il y a de moins en moins de papier chez moi, que j'essaye de numériser les trucs importants (même les tickets de caisse pour la garantie sur divers achats). Mais c'est clair aussi que le marché des imprimantes n'est pas encore révolu ! D'autre part, je ne sais pas si c'est la même chose chez vous, mais je suis régulièrement à la recherche de mes stylos et crayons lorsqu'il s'agit d'écrire un truc (la liste des commissions, p. ex)...
RépondreSupprimerComme l'anonyme du premier post, ce qui me fait le + peur, c'est la perte progressive de l'écriture...
Le fait d'avoir des enfants en bas âge favorise l'utilisation du papier (bricolage, dessin...). Je vois ma fille de 7 ans apprendre à écrire, s'appliquer à faire des belles lettres et je me dis que ce n'est pas encore pour maintenant le "tout clavier" à l'école (mais pour combien de temps ? 15 ans ? 30 ans ?)
La question qui se pose(ra) est: comment gérez-vous vos données numériques ? L'exemple de l'agenda peut se retrouver également par rapport aux données... Archivez-vous vos mails ? A quand remonte la première inscription dans votre agenda électronique ? Faites-vous des sauvegardes ?
(Anonyme du 1er post: je ne range pas ma guitare, la laisse bien visible sur son support... je n'ai qu'à l'attraper pour en jouer... sors ta guitare de l'armoire et laisse-la traîner !!!)
moi aussi j'adore le papier: livres, petits cahiers et carnets, agenda j'aime écrire et lire et quel plaisir de recevoir une lettre dans la boîte. Non décidemment même si le courrier électronique, l'agenda élextronique et tout le reste remplace petit à petit le papier je reste très attachée aux feuilles que l'on tournent aux annotations dans la marge....alicia
RépondreSupprimerAhhh
RépondreSupprimerle 0 papier ... c'est un peu mon reve... mais je ne suis qu'une pauvre femme, et je ne pense bien qu'avec un crayon á la main...
autour de mon ordi, en vrac et sans organisation aucune... des numero, des note des liste ( la sacro-sainte TODOLIST. bref, la vie quoi.
mais peu a peu, comme les photos et leur indentites papables qui ne sont devenue qu'octet .. comme nos factures qui ne sont devenue que simple ligne a l'ecran ... je crains que les carnets d'adresse et autre "papier perso" ne finissent ainsi.
seul, mes livres ne rentreront pas dans la grosse boite... ca je ne peux m'y resoudre.
en passant, et parce que je suis une handicapée de la carte postale ... je t'embrasse fort.
a bientot
val
J'ai besoin d'écrire... de former des lettres, je veux dire. J'aime m'appliquer, faire de belles majuscules.
RépondreSupprimerMême la plupart de mes posts, je les prépare au brouillon avant ! Parce que j'aime aussi les multiples stylos, et puis choisir les cahiers... écrire sur le papier.
J'espère bien qu'on n'en arrivera pas au tout-clavier, et j'insiste particulièrement sur l'apprentissage de l'écriture avec mes élèves, parce qu'alors, comment les futurs amoureux traceront-ils de jolis mots dans le sable ? (sans parler du courrier manuscrit, tellement plus personnel qu'une missive tapée)
Et puis, et on y arrivera, le jour où l'informatique, où l'électricité nous feront défaut, tout notre stoc de disque durs... pfuiiiit ! Pour avoir perdu une partie de mon travail (ordi kaput, clé de sauvegarde idem), j'étais bien contente d'en retrouver des traces imprimées !!!
J'aime moi aussi beaucoup le papier, les carnets, les agendas papiers...
RépondreSupprimerEt puis, j'ai eu la chance de ne jamais encore avoir dû "supprimer" quelqu'un de cher de mon téléphone après sa disparition, mais j'avoue m'être posé la question de ce que l'on doit ressentir...