Dès lundi matin, vous pourrez lire ici le "trépidant" récit de "Madame Poppins va chez Freud" !
Et vous, comment avez-vous fait pour "rebondir" lorsque la vie vous a collé une baffe ?
A bientôt si vous le voulez bien,
Et vous, comment avez-vous fait pour "rebondir" lorsque la vie vous a collé une baffe ?
A bientôt si vous le voulez bien,
Je lui ai mis un pain et on a causé d'autre chose, pourquoi ?
RépondreSupprimerTiens, je suis prem's !
RépondreSupprimerA ta question sur le texte, (je ne peux pas commenter la bas on dirait) j'ai passé 30 ans persuadée que je ne vivrai pas ces trente ans justement. Que ceux qui m'approchaient étaient mal partis, qu'il valait mieux éviter de s'attacher. Ensuite..dans ma famille ils cultivent le thème de l'autruche et du tapis. On ne sait rien, on n'a rien vu, poussons cela sous le tapis personne ne le saura.
RépondreSupprimerUn jour j'ai fait comme toi. Je suis entrée chez une psy avec la ferme intention de faire le ménage.
Je suis arrivée avec un récapitulatif de tous les évènements traumatiques. J'ai parlé 20 minutes. Posé tout ça sur son bureau, en mots pressés, en vrac, qui s'entrechoquaient. Avant de prendre une grande respiration.
Un an plus tard, je n'avais pas tout résolu mais j'avais beaucoup avancé vers une personne qui me restait inconnue: moi.
La première fois fut aussi vers 24 ans... C'était cette impression de subir le regard des autres de manière totalement déraisonnée et de ne pouvoir être bien dans ma peau. Après des semaines entières à pleurer tous les jours, mon généraliste de l'époque m'a également fourni le fameux même petit papier.
RépondreSupprimerDepuis j'y retourne à intervalle plus ou moins régulier (un peu comme un Mars) et ça repart.
Mon amie,
RépondreSupprimerlà c'est toi qui m'en colle une, de claque....
Voilà un petit nombre d'années que je tourne autour du pot... j'y, j'y vais pas, je cherche, je cherche pas...
j'ai toujours une bonne raison...
Et puis j'ai été éduquée comme ça, "pas besoin de quelqu'un " disait mon père... justement si..
Et là tu vois je me cherchais un cours de yoga pour l'heure du dèj...
Je note mes rêves...
je vois les endroits ou j'aime aller et ceux là bien sombres dont parfois, je n'explore qu'un millimètre de tissu. quand à ceux que je connais pas...
Mais j'appréhende énormément la possible descente dans les humeurs sombres... Car la dernière, dévastratice, m'a fait comprendre que je vais pas pouvoir jouer encore longtemps à cache-cache.
c'est un sacré écho ton texte...
Je t'embrasse
Pascalou
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerDidier, voilà une excellente idée : oeil pour oeil, dent pour dent, y a pas de raison d'encaisser les coups !
RépondreSupprimerSouslesmots, "tout résoudre" est certainement impossible mais on vit mieux, je trouve, dans une "pièce" dans laquelle on a fait un brin de ménage !
Sylphide, t'as de la chance : en principe, les "Mars", ça fait grossir et pourtant, sur toi, ils ne laissent aucune trace, sauf ta joie de vivre et ta force !
Pascalou, explorer ce que je pensais être ces "humeurs sombres" a mis en exergue beaucoup plus de lumière que je ne le pensais... Je t'embrasse et espère que tu trouveras, toi aussi, le moyen qui te permettra de guérir de cette plaie, doucement, petit à petit !
Et pour toi qui as effacé ton message, plein de bises aussi !
J'ai fait face à ma culpabilité, toisé de haut ma responsabilité et j'ai crié "Merde !" des combats bien plus importants que mon nombril méritent la peine d'être menés.
RépondreSupprimerCependant les zones d'ombres me permettent d'apprécier d'autant plus les plages de soleil. C'est cliché comme image... enfer/paradis me paraissaient trop connotés pour mon cheminement.
J'ai pris des baffes et de celles qui peuvent rendre associal, déséquilibré ou je ne sais quoi d'autre... je crois que je m'en suis sortie parce que j'ai toujours pensé que demain serait mieux (même si pas toujours vrai) et parce que je ne sais pas vivre dans le passé. j'ai toujours pardonné et digéré sans pourtant oublier. le passé nous construit mais l'avenir est plus intéressant, le présent aussi! je ne dis pas que je ne suis pas marquée par ce que j'ai vécu, mais je vais plutôt bien!
RépondreSupprimerje n'aurais jamais réussi à aller voir un psy, je suis incapable de parler à un inconnu! je parle à mes amis, j'écris et je me remets souvent en question, je m'analyse toute seule et ça marche aussi...
J'ai fait comme toi, je suis allée voir un psy et j'y vais toujours : j'avance vraiment bien et mon intérieur se rénove joliment.
RépondreSupprimeret y'a t-il des gens qui ne vont jamais voir un psy ? Tous ces messages et ton texte me font reclechir depuis leur parution..... Je n'ai jamais vu quelqu'un, mais est ce que j'en ai besoin ? C'est destabilisant comme question. Je vis bien, je vais bien, est ce que mon interieur vit bien aussi ? Je ne vois rien qui me pousse a y penetrer , a en visiter plus qu'il ne faut les recoins. Est ce que tout le monde passe un jour ou l'autre sur le divan ?
RépondreSupprimerdes bises
Lunap